Le monde du cinéma est partagé : dans n’importe quel pays sain d’esprit, Gilles Lellouche aurait été mis au ban national et envoyé en exil sur une île entourée de requins. Malheureusement, le milieu du cinéma est déjà cette île ultra privatisée infestée de requins, du coup Lellouche ne nous quittera pas. Son milieu, qui l’a promu grâce à la préférence communautaire, ne le lâchera pas. Et tous les lâches qui le composent n’oseront pas pousser un coup de gueule et le cuistre dehors. On le fait à leur place, on a du courage pour dix, pour cent (et pas pour 10% seulement).

Donc le médiocre Lellouche, qui marque les acteurs (et réalisateur) populaires Canet et Dujardin à la culotte – Lellouche est clairement une pièce rapportée dans la bande – s’en prend aux figures nationales Bardot & Delon. On dit parfois que la France, c’est le Général, Bardot, Delon et la Tour Eiffel. Ce faisant, le médiocre acteur communautaire s’en prend à un des quatre piliers de notre pays bien-aimé. Qu’est-ce qui le retient de partir ?

La filmo de Lellouche ne lui permet pas de prendre de haut un Delon ou une Bardot. Ce qui lui permet d’être aussi insultant, et à travers ses deux victimes d’insulter des dizaines de millions de Français, c’est qu’il fait partie de la communauté de Lumière, oui, celle de Louis Lumière si vous voulez. Les sionistes font la pluie et le beau temps à Hollywood et dans le cinéma français, et on a vu le résultat : seuls ceux qui échappent à cette idéologie s’en sortent et font de bons films. Les autres font de la merde pour les cons (ou les goyim).

La haine sioniste a parlé

Il ne servirait à rien de contre-insulter Gilles Lellouche, de lui faire manger sa kippa, ce n’est pas comme ça qu’on règle les problèmes politiques. Il faut juste expliquer que l’acteur est en fait un agent sioniste infiltré dans le cinéma français, qu’il n’a rien à y faire artistiquement mais qu’il est là pour piétiner tout nationalisme qui pourrait y repousser.

En d’autres temps (1953-1954), aux États-Unis, le maccarthysme semait l’effroi dans tout Hollywood, pourtant tenu par les grands producteurs juifs. Mais ils étaient de gauche, ou plutôt progressistes, la plupart venant des pays d’Europe de l’Est.

Nous avons retrouvé dans un documentaire sur Lana Turner, diffusé sur Arte, un acteur américain de l’époque qui dénonçait ses semblables :

Il suffit de remplacer le maccarthysme par le sionisme, la balance du documentaire par Gilles Lellouche et on fait un bond de 66 ans dans le temps pour se retrouver de l’autre côté de l’Atlantique, en France et aujourd’hui. Le maccarthysme actuel n’est plus anticommuniste mais antifrançais, ou prosioniste.

Ceux qui ne sont pas sionistes doivent abjurer leur antisionisme, ou dégager du monde du cinéma. Et c’est valable dans les médias et la politiques, où la chasse aux sorcières non sionistes ou pas assez sionistes fait rage.

Loin de la laideur, de la jalousie et du communautarisme,
Delon & Bardot